Tout a commencer part une balade, a la fin de cette promenade nous aurions aimer aller faire du canoë, mais les choses ne se sont pas passer comme elles aviez étaient prévu.
Donc, au début c'était mon oncle, mon frère, mon cousin et moi mais plus tard se fût que mon père et moi.

Nous étions passer a coter d'un bahut, des jeunes en sortez sa venez d'être les vacances juste pour certain.
Notre canoë accrocher sur le dos nous continuâmes notre chemin...

Un peu plus loin nous passions dans un parc d'attraction. Il fallait passer par là  pour aller à  notre rivière, aucun d'autre chemin que celui-ci ne pouvait nous y mener.
Encore un peu plus tard nous traversions une ruelle, où un regroupement de gendarme c'était fait, il faisait une démonstration et mon père devait les accompagner. (il est militaire)

Ils commençaient par faire rouler les chars, les tanks, les voitures blindées et autres...
Moi qui était a coter de mon père je me suis dit : ‘Tien, je crois que je gêne'.
Mon père était à  coter d'un drapeau bleu, blanc et rouge.
Je me suis reculer un peu mais a se moment là  j'ai faillit me prendre un des chars,
Je me suis donc empresser pour courir sur le plus proche trottoir.

J'ai entendu un *BOUM*
Juste à  coter de moi, j'ai regardé a gauche puis a droite, une maison a explosé...
Sur le moment j'ai sursauter ensuite j'ai regarder les gendarmes pour voir si tout sa était dans le show. Vu leur tête, je me suis dit que non.

Tout les gendarmes on couru dans un grand gymnase en attendant que les pompiers débarque.
Les piétons et les gens qui regardait la démonstration courue un peu partout, soudain je vit une vieille femme qui préparer sa voiture pour partir, je lui demande si elle peut m'emmener.
Elle me dit que non, dans sont regard je voyait qu'il ne lui intéresser de sauver que ces filles.

J'était a coter de la maison enflammer, là  abandonner de tous.

La dame dont je vous ai un petit peu parler là , qui voulait sauver ces fillettes, avant sa elle voulait récupéré de l'argent sur sont compte.
Une autre fille un peu plus âgée que moi, regarde la femme et lui demande de l'emmener loin des flammes, la vieille refusa une fois de plus.
La fille, regarda la vieille avec un de ces regard...Un regard qui veut tout dire.

Moi qui ne savait plus quoi faire, pour faire peur un peu a la vieille histoire qu'elle nous emmène : ‘Tu n'a qu'a lui casser les deux bras et lui prendre les clefs de la voitures'.

La vieille se faisait ‘martyriser' par mathilde. (l'autre fille)(j'ai une amie d'enfance qui s'appelle comme sa, mais elle ne lui ressembler pas du tout)
Cela commencer a m'ennuyer, je décider donc de partir d'ici.
En les laissant la toute les deux, de toute façon elles commencer a devenir amies.
Mathilde elle fut embarquée par la madame.

Une fois de plus j'étais seule.



Suite :

Je me promener toujours les larmes aux yeux.
Mon canoë avait disparu, mais je ne pleuré pas pour ceci.
Je continua donc ma route, soudain je vit des amies, au début elle ne m'avais pas remarquer, mais ensuite l'une d'elle me demander se qui n'aller pas.
Je lui raconter donc mon histoire.

Elle me fit : ‘Si tu veux ont a qu'a aller voir se qui se passe dans se gymnase.'
Moi : ‘Tien, oui pourquoi pas'.

Nous somme partit dans le gymnase et aucune personne n'était dedans.
Nous entrâmes donc dans une chambre un peu bizarre, pour trouver un peu comme des indices...Mais quand nous voulions partir, nous étions enfermé dans cette salle.
Il y avait une musique que j'avais déjà  entendue autre fois...
A par sa il y avait aussi une machine blanche, normalement quand on parle dedans quelqu'un nous répond. Mais la elle sembler endommager, je tapoter un peu dessus et elle fonctionna.
Au dessus de cette outille il y avait un petit trou, je voyer des gens m'observer.

Je leur fit : ‘Qui vous est-te ?'

Toutes les filles de l'autre coter me répondez en même temps : ‘Des prisonnières comme vous !'

Je les fixer un peu, juste histoire de voir qui elles étaient.
Toute je les connaissez sauf une, celle qui jouer du piano elle était vieille et ne s'arrêté pas de jouer.
Le silence fut, et c'est a se moment là  que j'avais retrouver d'où je l'avait déjà  entendu.
Je lui cria : ‘C'EST VOUS ! C'EST VOUS ! QUI JOUER LA MUSIQUE DE LA LIBERTER !'

Grâce à  sa musique, elle nous avait auparavant délivré.

T.END

PS: Désoler pour les fautes d'orthographe/conjugaison etc..