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COURSE DANS UNE VILLE AUX RUES ETROITES

Publié : 15 mars 2006, 14:50
par ANNEEMOZART
1. Je suis dans une ville ancienne, aux rues très étroites et sombres. Je cours pour chercher quelque chose, mais je ne sais pas quoi. Je sais que j'ai peu de temps, car je dois aller chercher Germaine (?) à  la gare... C'est une montée, je cours, mais je vois bien que j'avance très lentement. En haut de la côte, je retrouve une connaissance, un jeune homme d'une trentaine d'année (son visage ne me dit rien). Il est homosexuel, et son compagnon est également là . Il est plus âgé et gras. Affectivement, je semble plus amie avec le premier homme. Je ressens un amour fraternel pour l'homme. Il me dit de le suivre, et nous allons jusqu'à  son van blanc déglingué. J'y prends ce qui semble être des herbes et des fleurs pour un herbier. Cela semble précieux...
2. Nous retournons chez lui, et là , des tas de gens nous attendent. Nous avons l'air de nous connaître (en fait, je ne reconnais aucun visage de la ville réelle). La scène est une scène de séparation d'un groupe qui a passé une période de temps ensemble. J'embrasse chacun, en demandant à  quelques uns de me regarder lorsqu'ils me font la bise. J'ai l'impression d'être la meneuse du groupe. Ca ressemble à  une fin de vacances d'un groupe d'une quinzaine de personnes. Je demande à  l'homme s'il m'a bien laissé son mail, et je vois en pensée la page où je sais que je la retrouverai de toute façon.
3. Je pars en courant, et j'entends derrière moi comme une rumeur de compliments, une sorte de vague qui me poursuit : « ah ! elle est formidable, et puis elle est tellement gaie, on rit avec elle... » mais je n'ai pas le temps d'attendre, je redescends la rue pour retrouver l'hôtel afin de retrouver mon mari. Les portes sont toutes sur la droite, mais je ne sais plus dans laquelle je dois rentrer. Je cours, je cours, je cherche, je me sens complètement oppressée par le temps qui passe et qui va me manquer, et soudain, je remarque des rideaux qui flottent devant une porte en bas de trois marches. C'est là . J'ai le sentiment que je vais être réprimandée, que l'on va me gronder d'avoir si longtemps disparu. Dans ma tête, je n'ai pas d'explication, c'est jusque que ce que je devais faire était important. Je vois mon mari, je me sens rassurée.
4. J'ai une envie irrépressible de déféquer. Je vais dans la petite pièce d'à  côté qui sert de salle de bain. C'est minuscule : j'ai du mal à  me tenir debout. Je vois la cuvette, je m'assoie et je défèque, ressentant immédiatement un soulagement. Je suis reprise par la folie de la course, et je me lève, pensant que je n'ai pas tout posé, mais que je n'ai pas plus de temps... je me dis que le peu que j'ai lâché m'a déjà  soulagée. C'est en me levant que je remarque que ce que j'avais pris pour la cuvette des toilettes était un minuscule lavabo, et que je l'ai rempli !!! Sentiment de honte, car j'ai tout bloqué, et qu'on va voir ce que j'ai fait. Gêne immense.

Publié : 16 mars 2006, 11:04
par Niomyden
Bonjour,

Ce reve riche me semble assez important pour Toi, il te faudra peut etre du temps pour le comprendre, plusieur fois y revenir, peut etre Tu devras!
Cela représente, une bonne partie de ta vie!
Et, il y a des choses que tu as mis de cotés dans ta vie en courant et tu n'as pas pris le temps de te soulagé de certaine choses!?

Amicalement
Nio.