Bonjour, je suis nouvelle ici et j'espère que vous pourrez m'aider.
Voilà  tout d'abord, je voudrais dire que je ne rêve que rarement, (ou alors je ne m'en souviens pas), mais que les rares rêves que je fais (ou dont je me souviens) sont très marquants et se produisent très souvent dans des périodes d'angoisse.
Je vous raconte le dernier, si vous pouviez m'aider à  le comprendre, car il me travaille depuis une semaine maintenant. Merci d'avance de votre aide.
Avant le rêve : Je me suis couchée très tard car très angoissée en raison de différents soucis, j'interrogeais mentalement mon père (décédé depuis 5ans) à  propos de mon choix sentimental. Je précise que depuis sa mort, je lui parle très souvent, mais que je n'ai rêvé de lui que 2 fois en tout et pour tout, la première fois quelques jours après son départ et la dernière fois c'est celle-ci. Donc voilà  le rêve en question :
Nous étions (mon père, ma mère, et moi-même) dans le hall d'une maison que je ne connaissais pas, dont les coins étaient sombres, avec un escalier large (double) séparé par une rembarde au milieu.
Mon père était assis sur les premières marches face à  ma mère, moi je venais de sa droite et de derrière l'escalier, il faisait encore plus sombe derrière moi. Il était vêtu de noir, et était très fatigué. Je distinguais à  peine ma mère dans une obscurité, puis il nous fixait tour à  tour et nous dit "je vous en conjure, donnez-moi les papiers que je vous ai demandés", j'ai dû lui demander de quels papiers il parlait, il continua "les actes de naissance et l'acte de mariage", puis "je vais vous dire à  qui les donner" et la porte s'ouvrit la lumière du soleil entra dans le couloir, et baigna l'entrée de clarté. Un homme d'environ mon âge (moins de 40ans) en uniforme (inconnu de moi, comme un treillis) avec une sorte de chapeau ou de casque sur la tête entra. Il dit "donnez les lui, il est policier" Je lui réponds, "mais ce n'est pas un policier, c'est Tahar le cousin". Le cousin sourit et s'approcha pour me donner quelque chose de petit et de noir qu'il sortit de la poche gauche de sa chemise, comme un portefeuille, ou un téléphone, j'avais la sensation que c'était pour me prouver qu'il était policier, de bonne foi ou simplement son identité. Mon père se leva alors, se dirigea vers lui, lui prit des mains ce qu'il s'apprêtait à  me donner puis l'embrassa et partit avec lui, en direction de la porte. Je me lève alors en sursaut, il est 4h et encore plus angoissée qu'au coucher.